Le site TNLT rapporte que, aux Etats-Unis, plus des 3/4 des salariés quittant leur entreprise déclarent qu’ils ne recommanderaient pas leur employeur ; le pourcentage le plus bas depuis plus de cinq ans, selon un sondage périodique du Corporate Executive Board Co (qui a interrogé plus de 4300 salariés de 80 entreprises américaines). En 2008, au début de la crise, seuls 42 % des salariés déclaraient la même chose.
« Ceci constitue une augmentation considérable, de presque 100%, des salariés insatisfaits de la façon dont ils furent traités par leur dernier employeur. «
A méditer, à l’époque de la pénurie de talents où la fidélisation des salariés devient un enjeu crucial.
>>> Lire l’article sur TLNT.com (en anglais).