« Le monde d’aujourd’hui n’est plus dominé par les pays développés. Dans ce monde, aucune restriction à l’utilisation de ressources naturelles épuisables n’a été mise en œuvre et l’attitude pro-business du « profit à tout prix » est remise en cause par la hausse de la demande mondiale et de la « consommation responsable » ainsi que par la reconnaissance de l’interconnexion des marchés.

Bien que son attractivité soit en baisse, l’Europe reste la destination principale des investissements directs étrangers ; un quart de la consommation et de l’investissement dans le monde se déroulent à l’intérieur de ses frontières. Elle reste une puissance de premier plan, mais elle doit investir sur son potentiel si elle veut être à la tête de l’innovation et de l’entreprenariat.

Ces priorités doivent être au cœur de l’agenda européen ; cela signifie que l’Europe doit définir de mettre en place de nouvelles méthodes dans la concurrence mondiale et, surtout, tracer son propre chemin vers le succès.

Ce rapport analyse les nouvelles dynamiques de l’économie européenne, dont :

• Le contexte mondial : la concurrence dans un monde polycentrique.
• Les investissements directs étrangers en Europe : la véritable valeur du continent sur le marché mondial.
• La perception de l’Europe : une « offre » complexe.
• L’Europe telle qu’elle devrait être : le leadership sélectif. »

C’est en ces termes que le cabinet de conseil Ernst & Young présente son rapport annuel sur l’attractivité européenne, dont l’Atelier de l’Emploi vous recommande la lecture.