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#QuandLétéJétais, semaine 3 : ivres, ils se déguisent en écrevisse et coursent des mamies !

A l’alcool ou à l’eau, en écoutant toujours les mêmes musiques en boucle ou en se frottant involontairement au « porno trash », les souvenirs de la semaine sont riches en émotions ! Et en inspiration ?

> Il ne reste que quelques jours pour participer et figurer sur quandletejetais.tumblr.com pour peut-être gagner un appareil photo ! Participez via les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Instagram, Vine) en postant avec le hashtag #QuandLétéJétais, directement via le Tumblr ou par mail à [email protected]. Attention : le jury sera sensible aux contributions imagées… !

A se remémorer sans modération

Décorateur floral

Federer dancing

« #Quandlétéjétais décorateur floral à Roland Garros, je faisais et refaisais des dizaines fois les mêmes compositions », se souvient Olivier S. Mais, récompense apparemment aussi enthousiasmante qu’une victoire contre Rafael Nadal : « j’étais plutôt content quand dans les stands on me remerciait avec une coupe de champagne ». Des dizaines et des dizaines de fois ?

Eboueur

éboueur

Les éboueurs sont matinaux, c’est bien connu… Pierre Ballion complète, quelque peu insolite : « #QuandLétéJétais éboueur, j’ai appris qu’on pouvait boire une bouteille de whisky à 6h du matin!« .

Ouvrier du BTP

Sébastien M., l’été, était lui ouvrier du BTP, et se rappelle combien « les après-midi étaient longues 😉 ». Alcool toujours, mais ingestion plus originale : « on désinfectait les plaies au Ricard… ». Avec ou sans glaçon ?

Manutentionnaire

Rappel à toutes fins utiles : l’eau, aussi, désaltère. Dans son souvenir précis et daté, Vincent Guibert s’est lui aussi découvert de nouvelles compétences : « #QuandLétéJétais Manutentionnaire aux Cables de Lyon (Nexans) l’été de la sécheresse 1976, je ne me savais pas capable de boire autant d’eau ».

Les risques du métier

Manutentionnaires (2)

usine de dentifrice gif

Manut’ lui aussi, « @captain_shadock » ne faisait pas que pomper… Son métier recèle quelques contraintes : « #QuandLétéJétais manut´ à l’usine de dentifrice, on bossait en écoutant les tubes de l’été ».

Que vaut l’écoute répétitive contre les tâches répétitives ? Sarkian, troisième manutentionnaire de la semaine, se souvient : « #Quandletejetais manut en usine de cagettes, j’étais tellement sale en sortant que je raclais la crasse sur mes bras avec un couteau…« 

Manut'

Vendeuses

Vendeuse, un autre job d’été qui peut aboutir à la médecine du travail ? Janis Chaplin se remémore une expérience… particulière : « #Quandlétéjétais vendeuse dans une bouquinerie, j’ai passé une journée entière à mettre des dvds dans le bon étui. La particularité de tous ces DVD : tous rachetés à une boite de location qui ne faisait que dans le porno trash. Le plus dur : manipuler tous ces DVDs à mains nues … »

Quant à @Lily_Pucien, qui se croyait plus à l’abri dans un  magasin de vêtements, son souvenir est tout aussi singulier : « #QuandLétéJétais vendeuse chez C&A je nettoyais l’urine des touristes qui prenaient les cabines d’essayage pour des WC. » « #TrueStory », ajoute-t-elle !

#QuandLétéJétais vendeuse chez C&A je nettoyais l’urine des touristes qui prenaient les cabines d’essayage pour des WC. #TrueStory Par Emeline (@Lily_Pucien, sur Twitter) Image ajoutée par l’Atelier de l’emploi (source : “Saint-Denis ma ville”)

 Animateurs

La palme du domaine le plus à risque revient cette semaine à l’animation. @GrgoireRey souligne avec force le travail à faire sur soi-même avant toute prise de poste : « #QuandLétéJétais animateur, la phrase « le ridicule ne tue pas » prenait tout son sens !! Avec des déguisement en pagaille!« . L’estime de soi d’@Agathe et @EloiseSalinas connaissent a apparemment été soumise à rude épreuve, et le moins que l’on puisse dire c’est que les déguisements imposés ont aiguisé leur capacité d’auto-dérision… Preuve en image s’il-vous-plaît : la première n’a « jamais réussi à remettre » cette tenue :

image

Et c’est ainsi que l’on imagine le déguisement « en écrevisse » de la seconde… :

image

Point commun avant notre premier manutentionnaire, c’est surtout l’ambiance musicale qui a plombé l’été d’@aurelieleclercq, qui raconte « ne plus pouvoir encadrer les chansons de l’été ». Son ressenti en une image :

Animatrice Barney Stinson

@CaptainShadock, séducteur, verse presque dans la poésie pour étayer un souvenir visiblement plus enthousiasmant : « #QuandLétéJétais GO, j’pouvais serrer plein de gos«  :

GO

Summertimes

L’été de leurs vies ? Peut-être pas, mais ces souvenirs, anecdotes inoubliables ou petits bonheurs simples, sont plein d’une nostalgie communicative !

Jardinier

Du boulot au cyprès… Adam S. ressent encore le bonheur simple de ses ex-jobs d’été, photo à l’appui : « #QuandLétéJétais jardinier, je rabattais des cyprès et les clients étaient toujours heureux« .

Cyprès

Chauffeur livreur et agent de fabrication

Les souvenirs de @Pektrouu (« #QuandLétéJétais chauffeur livreur j’avais chaud dans mon camion et j’insultais tout le monde ») et @Nass_e (« #QuandLétéJétais Agent de fabrication à Peugeot j’ai appris à me transformer en Chinois ») ne sont peut-être pas impérissables, mais ils témoignent du fait qu’un job d’été, ça marque !

Agent de fabrication

Bateau taxi et gardien de musée

C’est aussi le cas de deux autres participants, dont les anecdotes, propres au domaine leur job, sont encore dans leur esprit : Fabrice Mazoir nous fait ainsi partager une histoire de marin : « #QuandLétéJétais bateau taxi, un navigateur anglais m’a raconté la vraie raison du naufrage du Titanic (les chaudières ont explosé, le commandant a voulu pousser un peu trop le navire en rodage pour battre un record de vitesse) ».

Valérie B., a passé plus d’une nuit au musée : elle n’y a pas vu que des toiles… « #QuandLétéJétais gardienne au musée de ma ville, j’ai dû courser une mamie…qui a fait mine de regarder les tableaux dans la salle, s’est baissée, a ramassé le paillasson à l’entrée puis s’est enfuie en courant avec ! (sans doute plus facile à revendre de manière inaperçue qu’un Rembrandt !) »

Paillasson

Femme de ménage et jedi

Souvenirs impérissables… voire inventés ? Même sans une photo qui aurait été savoureuse, on croit sur parole l’expérience de @VirginiieeD  : « #QuandLétéJétais femme de ménages dans une usine, j’avais le droit de me promener en jupes avec des chaussures de sécu ! #LAclasse« . C’est avec @PixLOwl qu’il faut plus d’effort pour imaginer ses souvenirs de job d’été… : « #QuandLétéJétais mécanicien sur l’étoile noire, le trajet du matin et du soir était spectaculaire », « #QuandLétéJétais Un maître Jedi, j’ai appris a utiliser la force ! », et « #QuandLétéJétais Maître Jedi j’ai converti mon animal de compagnie au pouvoir de la force ! » Heureusement, la photo est à l’appui… !

image

Retour au réel, et au présent, avec enfin @Chaibance et @Nass_e, qui nous rappellent que « souvenir » ne veut pas forcément dire passé lointain : « #QuandLétéJétais teleoperateur en centre d’appel ! Ah c’est en ce moment ? Ok !« , « #QuandLétéJétais tehnicien de maintenance à la SNCF … ah non merde c’est à 10h que je le serai ». Pour leur souhaiter bon courage, à eux et à tous les autres, citons @Lily_Pucien :

« #QuandLétéJétais équipière MC Donalds, je gardais la frite. »

 

> Toutes les contributions (et les précédentes) sont à retrouver sur #QuandLétéJétais sur Twitter et sur quandletejetais.tumblr.com A vous !

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