La semaine dernière, la « semaine de l’emploi » s’interrogeait : les 34 plans annonçant une « Nouvelle France industrielle » créeront-ils de l’emploi ?
Cette semaine, c’est au tour de l’innovation made in France de passer sur le grill : combien d’emplois en prévisions ? Une chose est sure, les discussions de la semaine l’ont montré, le développement d’un marché du made in France est aussi l’occasion de créer des écosystèmes hyper-localisés, favorisant les partenariats entre entreprises (PME et grands groupes) et entre celles-ci et d’autres acteurs, publics, privés, de l’emploi, la formation et la recherche… Le tout fonctionne-t-il pour autant comme des usines à emploi ?
Au final, le made in France est l’occasion de redécouvrir l’« effet local » : ces « dynamiques propres au territoire » comme l’analysait ce dimanche France Info, à partir d’une étude de l’AdCF. Ce n’est pas nécessairement parce qu’un territoire a plus d’atouts intrinsèques qu’un autre qu’il est plus créateur d’emplois, c’est surtout quand il a la capacité à impulser cet « effet local » :
« Pour cela, il faut que les chefs d’entreprise, les chercheurs, les universitaires et bien sûr les élus sachent travailler ensemble… » (France Info)
Certains l’ont déjà bien compris :
Une dynamique partenariale collaborative pr le dvpt de l’emploi local – #ForumRH à @CCINantes le 17/10 – http://t.co/3tl1zp6xj8 #Nantes
— CCO Nantes (@cco_nantes) September 20, 2013
A suivre !
